InvitéInvité
| Sujet: Sinon, comment se cultiver? feat Céleste Dim 16 Juin - 13:38 | |
| Voici l'aile principale du palais, avec ses décors, blancs, jaunes, rouges, ou encore plein d'autres couleurs. La douce lumière qui filtrait dans les fenêtres adoucissais la silhouette pourtant dure et carré de Léonard. Celui-ci flânais dans le palais, a la recherche de quelque chose a faire. Son regard alternais entre le sol et les portes, portant des inscriptions. *salle du trône? Je ne pourrais pas parler au roi maintenant. L'opéra? Il n'y a pas de représentation a cet heure -ci... La bibliothèque... Pourquoi pas?* Léonard se dirigeât donc vers la bibliothèque, ouvrit la porte, et s'y enfonça. L'ambiance tamisé de la bibliothèque était idéale pour lire. Léonard parcouru les rayons pour trouver un livre a sa convenance. De l'étagère des partitions à celle des livres historiques, il n'avait que l'embarras du choix. Il dégota un livre sur les rois de France jusqu'au 13° siècle. C'est alors qu'il tourna la tête, et reconnu la fille qu'il avait aperçu lors du bal de la galerie des glaces. Que faisait-elle là? Il pensa qu'il serait juste de faire connaissance avec quelqu'un d'autre que Héloïse ou cette pimbêche de Violetta. Il s'approcha donc de la femme et demanda: -Bonjour, très chère. Je suis Léonard DelaCastille, courtisan. J'ai déjà aperçu votre beau minois au bal, quel est votre nom? Il ne pouvais pas s'empêcher de faire des compliments au femmes, mêmes au plus laides. Or, celle-ci était vraiment ravissante, mais moins qu'Héloïse. |
|
Celeste d'Angoulême
▌MESSAGES : 15
▌AGE : 16 ans ▌RANG/MÉTIER : Courtisane
| Sujet: Sinon, comment se cultiver ? feat Leonard Lun 17 Juin - 8:31 | |
| Le Soleil venait d’apparaître à l'horizon. Ses rayons naissants laissaient une agréable sensation de chaleur sur le cou svelte de Céleste qui déambulait joyeusement dans les couloirs du palais, encore vide à cette heure si matinale. Le ciel était dégagé et la journée promettait d’être radieuse. Celle-là envisager donc d'aller lire dans les jardins du palais car rien n’était plus idéale que les odeurs d'herbes fraîches et de fleurs qui émanaient des bosquets de Versailles pour se livrer à cette occupation. De plus, elle espérait y trouver un coin tranquille où elle ne croiserait pas les individus de la Cour qui passent leur journée à contempler les moindres gestes du Roi de son lever à son coucher, considérant cela comme un honneur. De toute évidence sa mère faisait partie de ses gens là, s’exhiber à longueur de journée aux côtés du roi lors de ses activités quotidiennes était favorable à une bonne image auprès des autres courtisans de Versailles. Céleste avait dû y assister, un jour, a cause de la ténacité que sa mère avait mise à quelle y participe. On ne peut imaginer combien la journée d'une personne, de n'importe quel rang soit-elle, puis être aussi ennuyeuse, pour celles qui en sont spectatrice tant que nous n'avons pas nous même assister à l'une d'entre elles. Lors d'une journée typique, la seule interaction consiste, pour les plus chanceux, à tendre la carafe au Roi lors de ses repas ou encore à lui enfiler sa tunique lors de son habillage. C’était donc pour éviter d’être contrainte à suivre ce cortège fastidieux que Céleste se levait tous les matins aux aurores. Elle se rendait tout d'abord à la bibliothèque chercher un livre, puis aller s'installer dans un endroit désert du château pour le consulter. Cela ne lui était pas d'une extrême difficulté vu que celui-ci disposait d'une ample superficie. Comme chaque matin Céleste se rendait donc à la bibliothèque, et aujourd'hui elle comptait bien y dénicher un livre sur Léonard de Vinci, l'un de ses artistes favoris. N’étant pas une grande amatrice de peinture, elle apprécier plus particulièrement Mr de Vinci pour ses qualités de scientifique, d'inventeur et d’écrivains. Elle entra donc dans la salle qui, contrairement à l'image obscure que l'on pourrait se faire d'une bibliothèque, resplendissait de mille feux. La lumière qui venait se reflétait sur les cristaux des lustres laissaient flotter dans la pièce une sensation de sérénité absolue. Au centre de celle-ci se loger quelques tables entourées de fauteuils moelleux, et, le long mur, de hautes étagères étaient rempli de livres de tous genre. Céleste se dirigea donc vers l'une d'entre elles intituler "Artistes du XVIe siècle" qui se trouvaient juste entre deux autres nommés "Philosophe de la Grèce Antique" et "Chronologie des Rois de France du Ve au XVe siècle". Enfin, elle l’aperçut, "Grande Nibbio e altre opere de Leonardo da Vinci" de toute évidence le livre paraissait avoir été éditer dans sa version originale, l'Italien en l’occurrence. Elle chercha donc des yeux une autre version du livre lorsque qu'une voix chaude et grave retentit dans le silence qui régnait encore quelques instants auparavant dans la pièce.
- Bonjour, très chère. Je suis Leonard DelaCastille, courtisan. J'ai déjà aperçu votre beau minois au bal, quel est votre nom ?
Surprise par cette interruption, Céleste se retourna brusquement et remarqua qu'une autre personne se trouvait dans la pièce. Un homme, d'une trentaine d’années la regarder en souriant. Son visage lui paraissait familier et après quelques temps de reflection elle constata quelle l'avait effectivement dèja croiser. Cet homme à dit m'avoir croiser au bal, maintenant que j'y pense, je croit bien que c'est l'homme que j'ai entrevu hier soir. Il entraînait une jeune fille qui se débattait jusqu’à la piste de danse, mais, d’après mes souvenirs, il avait le nez légèrement plus rosé à ce moment-là. Cette pensée la fit sourire. Puis elle remarqua qu'il lui avait fait un compliment, aussitôt son visage s'empourpra et c'est d'une voix troublé qu'elle lui repondit.
-Je...je me prénomme Céleste...Euh...Céleste d’Angoulême. Puis d'une voix plus assurée. Je suis enchanté de faire votre connaissance Mr DelaCastille,Courtisan. Il est rare de rencontrer des personnes à cette heure-ci dans cette partie du palais. Et elle ne manqua d'ajouter. Surtout une personne de votre rang. Enfin se laissant emporter par sa curiosité. Vous recherchez un livre en particulier ?
Car c’était la première chose qu'elle s'étais demander en le voyant dans la bibliothèque. Que faisait-il ici ? |
|