[RP multi] La fête: Rencontre a l'Italienne ( A archiver, mes jolies èé)

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[HRP] Ce sujet est un RP multi, c'est à dire qu'il y a un scénario principal, et que tous le monde peut y participer. On peut parler de tous et de rien, ou bien participer au scénario principal. [/HRP]

Après avoir visiter le château seul, c'est-à-dire après l'abandon d' Héloïse, je rentrait dans ma chambre. Par le biais d'un messager, je fut prévenus qu'une fête se préparais. Dès le soleil coucher, je me préparais. je ne m'attendais pas a voir Héloïse a cette réception, et je ne voulais pas revoir les mégère de cette après-midi. Je réfléchis donc. je pesait le pour et le contre: Si j'y allais, je risquait de revoir les vieilles folles, mais si je n'y allais pas, je ne connaîtrais pas d'autres personnes de la cour. Je m'y rendis donc le pas léger, portant mes habits du soir. -Une veste a manche longue noir, avec une rose, dont au cœur se trouvait l'insigne Castillaise, une chemise de couleur beige et le même pantalon que durant toute la journée.-
Une fois arrivé devant le Palais des glaces, j'observais les alentours pour trouver des personnes sans maquillage ni mouche. Mais non, a part un homme et une femme déguisé en Scapin et en Zerbinette, deux personnages des Fourberies de Scapin, dont molière donnait une représentation ce soir. une fois arrivé dans la salle remplis de bourgeois et de nobles, je m'approchais du bar. Pinte après pinte, chopes après chope, je buvais, puis payais. Si bien qu'à la fin, je m'évanouis.

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Je venais d'arriver à Versailles,et un messager m'annonça qu'un bal avait lieu se soir.J'adore les bals,tout le monde en vêtements du soir,la danse,les lumières,quoi de mieux pour rêver.
Je venais de rentrer dans la salle et m'approcha de Molière,nous étions en train de discuter quand j'entendis un bruit de verre qui se casse je pensais que c'était sans doute un majordome maladroit qui avait fait tomber son plateau mais je me retournais quand même et vis un homme d'une trentaine d'année allongé par terre.Je me fraya un passage et ouvrit ma bourse,pris mes sels et les passa sous le nez de l'homme.Il se réveilla et la soirée reprit son cours.

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-Maman, maman! C'est qui la dame dehors?
-c'est Mme Del venezia.
-Pourquoi elle est là?
-Pour te marier.
Dans les beau jardin Castillais, ma mère, moi et Mme Del venezia nous promenions tranquillement.
-Au fait, ne devions-nous pas parlez de ce mariage arrangé? Dit-elle en se caressant le ventre,
oui,dit ma mère en me regardant avec compassions, ce mariage scellera l'alliance entre la Castille et l’Italie. Que me proposez-vous?
-Simplement mon prochain enfant. Sachez par contre que beaucoup de mes grossesses ont été des fausses couches. Tous ce que je peux vous dire, c'est que ma prochaine fille s’appellera Violetta.

je me réveillais avec un mal de crâne pas possible. au-dessus de moi, une jeune femme d'environ 18 ans, des sels a la main, tentant de me réveiller. Je la regardais et me redressait. Je m'assis sur une chaises, et un homme me donna quelque chose: un fort dé saoulant, me dit-il. Je le buvais et me mit a réfléchir. Qui avait-il écrit sur son vestons déjà? Ah, oui, Violetta Del Venezia. D...Del Venezia... Oh non! La chose que j’avais fuis toute ma vie m'avait retrouvé...

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Je retournais auprès de Molière pour reprendre notre conversation avec lui.Il m'attendait et je commençait à parler:
<<Cher monsieur Molière,où en étions-nous?
-Eh bien très chère,je ne sais plus!>>
Nous cherchions un sujet de discussions quand je trouvais:
<<J'ai lu votre dernière pièce,celle que vous jouez ce soir,les fourberies de Scapin il me semble.
-Oui,et qu'en avez-vous pensez?
-Eh bien,je me suis rendue compte que vous vous étiez inspirez du Phormion de Térence,et que vous vous êtes fortement imprégné de la comédie italienne et ça j'adore!
-Je vois que vous avez beaucoup de connaissance en la matière,et je suis ravi que vous l'apprécié!>>
Je jettait quelque coup d’œils à la salle et reconnu l'homme que j'avais réanimé avant et lui fit un sourire .Mais là je fit plus attention a sa veste et vit l'emblème de Castille.Mais Castille c'est le comté de mon futur mari!Oh non,mon passé que je croyais oublier m'a rattrapé.

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La danse avait commencée,et je vit mon futur-mari-que-je-n'aime-pas se diriger vers moi,que me veut-il?Je voulais à tout prix l'éviter et je rejoignis ma tante,elle me proposa d'aller parler à une jeune fille qui paraissait seule dans un coin.Je me décidais à aller la voir et elle me regardait bizaremment. Pourquoi me regarde-t-elle comme cela?Franchement,elle me donne la chair de poule mais ma tante me pousse pour que j'ai des amies,donc eh bien quand il faut y aller,il faut y aller.

Fort déprimée par le passage un peu mouvementé à l'Orangerie, Héloïse s'était enfermée dans ses appartements pour le reste de la journée. Le souvenir de cette malheureuse époque où elle vivait encore avec sa tante était beaucoup trop douloureux pour qu'elle se montre. Si c'était pour que les courtisans se moquent de son visage déprimé, ce n'était pas la peine ! (Ils se vengeraient sûrement des fois où elle les avait humiliés) De plus, elle n'était pas d'humeur à chercher des répliques et elle serait sans doute incapable de réfléchir pour en trouver...
Mais une fois que la nuit tomba, Héloïse se secoua.
*Allons, Héloïse ! Ressaisis-toi ! Cet épisode n'est que le passé ! Tu n'es plus une petite fille ! N'es-tu pas Héloïse la Rebelle ? Alors pourquoi es-tu dans ta chambre à te remémorer les événements du passé ?!*
Elle se leva alors et sortit d'un pas décidé de sa chambre.
Bon, qu'allait-elle donc faire pour se remonter le morale ?... Ah ! Elle savait ! Il y aurait un balle à la galerie des glaces, non ? Et si elle allait là-bas pour se vouer à son activité préféré ? C'est-à-dire repérer chaque chose ridicule que faisaient les courtisans pour en ricaner ouvertement et ainsi les ridiculiser ? Voilà qui était une excellente idée !
Elle se dirigea donc vers la galerie des glaces d'un pas enjoué, presque sautillant.
Quand elle arriva au lieu de la fête, les courtisans étaient déjà en train de boire et de s'amuser en dansant ou riant des derniers ragots qui circulaient à la Cour. Héloïse eut une grimace méprisante. Ces gens pouvaient tellement être répugnant ! En passant devant un groupe de gentilhommes qui discutaient en buvant un verre de champagne, Héloïse entendit même l'un des courtisans dire sur le ton de la confidence :

- Vous savez, Héloïse de la Vallières ? Oui, c'est cela ! La Rebelle ! Eh bien... Saviez-vous qu'en réalité...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. La jeune fille le coupa, un sourire mesquin aux lèvres :

- Qu'en réalité quoi, monsieur ? Allez-y ! Continuez votre phrase ! Je crois comprendre qu'elle est à propos de ma personne... Je suis donc très curieuse de savoir ce que vous vous apprêtiez à dire !
- C-c'est-à-dire que... balbutia-t-il, surpris.
- Oh ! Mais ne serait-ce pas le baron des Froides ? dit-elle en le reconnaissant. Cela me rappelle quand vous étiez...
- C'est une histoire si lointaine ! essaya de la couper le baron.

Mais cela n'empêcha pas à Héloïse de continuer son élan.

- ... Tombé dans la fontaine nord du jardin ! Vous étiez couvert de vases et votre odeur se sentait à une lieu à la ronde !

Les gentilhommes qui étaient autour de lui ricanèrent. La jeune fille aurait pu continuer son acharnement en racontant pourquoi il était tombé dans la fontaine, mais elle décida que c'en était assez pour le pauvre homme - après tout, il était loin d'être le pire - et alla se chercher une nouvelle victime.
Elle passa donc un bon moment de la soirée à se moquer des courtisans, à son plus grand plaisir ! C'était fou comme faire souffrir les autres pouvaient apaiser sa propre souffrance !
Mais au bout d'un long moment, Héloïse finit par se lasser de taquiner les autres. Elle prit donc un verre de vin et alla s'asseoir sur une chaise dans un coin de la salle.
C'est alors qu'elle vit une jeune fille qui devait avoir son âge qui se dirigeait droit sur elle.
*Oh non... Encore une "princesse" qui ne sait pas à qui parler et vient me prendre comme dernier recours !* pensa-t-elle.
Elle avait utilisé le terme "princesse" sans savoir qu'elle en était vraiment une. Elle avait pensé cela à cause de son imposante robe lourdes de décorations inutiles ; elle devait sûrement être riche vu les grands colliers qui lui entouraient le cou ! (Héloïse appréciait particulièrement celui avec le rubis... Mais ce n'était pas le moment de s'intéresser aux bijoux !)
Apparemment, elle ne devait sûrement pas connaître sa réputation ! Sinon, elle ne se risquerait pas d'approcher ! Eh bien ! La pauvre fille allait y goûter !
Quand elle fut près d'elle, elle lui demanda en lui arborant son habituel sourire mesquin :

- Plaît-il ?

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La jeune fille avait un sourire mesquin quand elle me parla froidement:
<<Plait-il?>>
Franchement,mais pour qui se prend-t-elle,je voulais juste être sympa avec elle et devenir son amie,mais au lieu de ça elle me regarde avec des yeux si froids,si inexpressif que ça donne froid mais je décide quand même de rester avec elle.J'hésite à lui parler et soudain,un gentilhomme vient vers moi et me prend à part:
<<Princesse Violetta,ne restez pas avec cette Héloïse,elle est si méchante alors que vous vous êtes si douce,elle se moqueras de vous,de plus elle est très mal vue à la cours,on raconte même qu'elle a été reniée par sa propre tante...>>
Je coupe le gentilhomme:
<<Je n'ai que faire des racontars,je veux apprendre à la connaître et quant à son passé je n'en ai que faire,maintenant laissez moi,je veux lui parler!
-Je vous aurai prévenu!>>
Je retourne auprès d'elle:
<<Alors vous vous appelez Héloïse?C'est un très joli prénom vous savez,il me plaît beaucoup.>>
Elle me regarde et l'ambiance devient très tendue.

Héloïse observa avec une moue dubitative la jeune courtisane. Quand le courtisan l'avait rapidement prit à part pour lui dire chuchoter quelque chose à l'oreille, Héloïse n'avait distingué de la conversation que les mots qu'elle détestait le plus dans ce monde. "Princesse", "mal vue", "reniée" et "tante" furent les mots qui sautèrent aux oreilles de la Rebelle.
"Princesse Violetta", hein ? Alors c'était elle la princesse d'Italie qui était venue à la Cour de Versailles ? Elle la scruta de haut en bas. Sa longue robe bleu était couverts de volants blancs, de nœuds et de décorations tels des perles ou des pierres incrustées. Dans sa tête, le portrait de cette princesse était déjà tout tracé ! C'était une fille comme toutes les autres courtisanes de cet Cour ! Ridicule et hypocrite !
Héloïse soupira intérieurement. Décidément, Versailles ne s'arrangerait pas ainsi !
La jeune fille revint quelques instants plus tard après avoir répliquer quelque chose au gentilhomme qu'Héloïse ne comprit pas.

- Alors vous vous appelez Héloïse ? C'est un très joli prénom vous savez, il me plaît beaucoup, dit-elle avec un fort accent italien.

*Pff ! Une princesse essaie-t-elle de me flatter ?*
Le sourire narquois d'Héloïse se transforma en un regard glaciale.

- C'est exact. Mais je ne vous permets pas de m'appeler Héloïse, Votre Altesse.

Elle avait prononcé ces deux derniers mots sur un ton méprisant. Elle les cracha presque. Pour Héloïse, plus le rang d'une personne était élevé, plus cette personne était vantarde. Et la jeune fille se basait sur cette règle universelle depuis le jour où elle avait habité chez sa tante. Même si son rang de marquise l'élevait déjà beaucoup dans la société, elle se considérait comme une une femme du peuple qui était venue à la Cour pour venger ses semblables. Son surnom décrivait tout cela très bien. Héloïse était la Rebelle...

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La jeune fille m'a regardée dédaigneuse et m'a presque jetée ces mots a la figure:
<<Je ne vous permets pas de m'appeler Héloïse, Votre Altesse.>>
Mais qu'a t'elle contre moi,je voulais juste être gentille avec elle et elle m'agresse,oh non,j'éspère qu'elle n'a pas mal pris le fait que le gentilhomme m'ai prit à part.Mais bon je vais quand même essayer de m'entendre avec elle même si c'est mal parti:
<<Je suis navrée,mais comme nous avons le même âge,je pensais que je pouvais vous appeller Héloïse,alors désolée je ne vous appellerai plus comme cela,Mme de La Vallière.Bon je vais chercher quelque chose pour me rassasier,voulez-vous que je vous rapporte un petit encas?>>
Elle ne me répondit pas,je n'eus qu'une envie,m'enfuir,mais voila je cherche à manger,mais quand je reviens,je l'observe plus en détail et du coup,elle me jette un regard noir et l'ambiance devint froide.

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Après avoir dé saouler en partie, je regardais attentivement la salle. Des bourgeois et des nobles dansait... Mal pour la plupart. Surtout le compte Auba. Il n’arrêtait pas de marcher sur les pieds de la Comptesse Defrance! Ce spectacle était pour le moins drôle. Je retraitait qu'Héloïse ne voit pas ça. Et d'un coup, alors que le compte Dublack et la comtesse Deségure s’arrêtèrent de danser, je vit Héloïse, en proie a une solitude. Du moins, jusqu'à que Violletta s'approcha d'elle. Elles semblèrent discuter de tout et de rien, mais le verre que je venais de boire eu raison de mon comportement.
-Héloïïïïseuh! Criai-je en courant vert les deux filles.

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J'essayais de trouver un sujet de discussion avec Mme de Lavallières quand je vit un nuage de poussière se diriger vers nous,et il me semblait distinguer Léonard De La Castille.Apparament il connait Mme de Lavallière car il courait en hurlant son nom et je trouvais cela très bizarre,enfin bon je pense qu'il est saoûl(oui encore)!

[HRP]Punaise ! C'est quoi cette réponse de rp tout riquiqui ??? Franchement, sans vouloir vexer personne, faut faire des efforts et ajouter des lignes bordel de screugneugneu ! (Attention, la Rebelle s'énerve !) [/HRP]

Héloïse foudroyait du regard la pauvre princesse d'Italie qui n'avait rien demander. Des éclairs semblaient jaillir de ses yeux verts ; il ne manquait plus que le tonnerre gronde pour que cet inquiétant tableau soit complet !
Cette princesse, elle ne pouvait tout simplement pas la sentir ! Son rang était beaucoup trop élevé à son goût...
Héloïse fut soudain interrompue par un grand cri qui hurlait son nom dans toute la galerie des glace.

- Héloïïïïïseuh !!!

Cet accent... Elle le connaissait...
Elle tourna lentement la tête et découvrit sans surprise le marquis de la Castille courir à toute vitesse vers elle. Il avait le teint rouge, surtout au bout de son nez... Et il avait une mine plutôt... joyeuse... Apparemment, le marquis avait un peu abusé sur les pintes ! .
Malgré elle, Héloïse émit un petit rire amusé. Ce Léonard de la Castille avait l'étrange pouvoir de la faire sourire malgré la situation. C'est qu'il était tellement drôle avec son accent ridicule et son visage tout rouge ! Mais elle se tut brusquement quand elle se rappela qu'elle était devant une "princesse ridicule et hypocrite".
Elle se tourna alors vers elle et continua de la scruter de son regard glacé. Même si elle était assise et donc plus basse qu'elle, Héloïse regardait la princesse de haut. Elle l'observait de son regard hautain et méprisant qu'elle n'accordait d'habitude qu'aux gens qu'elle méprisait le plus dans ce monde et ignora totalement le marquis de Castille qui arrivait vers elle.

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Alors que je courait comme un dératé, je ne fit pas attention aux regard intrigués des courtisans, et je ne pensais pas au répercutions. En même temps... J'étais saoul! Je courais donc, lorsque j'aperçu la princesse d'Italie, Violetta. Je me demandais alors ce qu'elle faisais là, et ce qu'elle pouvait bien dire a Héloïse. Mais, lorsque j'arrivait, une tension régnait entre les deux femmes. Je me demandait si elle se battait pour moi. Sous les effets de l'alcool, et m'imaginant des scénario plus Folles les unes que les autres, je me redressait tel un coq dans une basse-cour. Lorsque je vis qu'Héloïse m'ignorait, je tentait une approche:
-Héloïseuh!Je vous trouve! Mais que faites-vous ici ma chère?
A ces mots, je constatait qu'elles se lançait des regard amusez et a la fois méprisant.

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J'étais assez embarasser car Mme de Lavallières me regardait de haut,je déteste les gens qui font ça,ils se croient supérieur aux autres et je hais ces gens,ils sont méprisants a souhait!Mais bon revenons au fait que quand Léonard arriva l'ambiance était tendue,et de plus il est saoûl,ce qui n'est pas si extraordinaire!Mais c'est assez drôle,son regard va de l'une à l'autre et du coup je me retiens de rire!Mais bon,il est très pensif,a quoi pense-t-il?j'aimerais savoir!J'apercois ma tante qui parle avec un homme que je connais pas du tout,il l'invite à danser,j'aimerai bien danser,mais bon je n'ai personne avec qui danser,ce qui est triste,c'est que je n'ai aucun ami,j'adore danser mais je vais pas danser toute seule,j'aurais l'air folle et je ne le veux pas.
(je sais je suis un peu en train d'ecrire n'importe quoi mais c'est le seul moyen de faire beaucoup de ligne,je voudrais pas mettre la rebelle en colère)

Les mots de Léonards de la Castille s'envolèrent à coté de son oreille. Il aurait pu parler à un mur - et vu son état d'ivresse, il était fort possible que cela se produise - le résultat aurait été le même. Héloïse ignora tout bonnement et royalement le marquis. Ce n'était pas qu'elle le méprisait lui aussi... Oh non ! Il était plutôt drôle ! C'étai juste qu'elle était beaucoup trop occupée à toiser son interlocutrice de princesse d'Italie de son regard méprisant.
La Rebelle ne disait rien. Elle se contentait de la scruter, ses lèvres dédaigneusement pincées, ses yeux verts d'un froid glacial. C'est alors que la princesse Violetta tourna la tête avec un mouvement d'embarras et regarda distraitement les courtisans danser au son de la musique. Les sourcils de la jeune fille se froncèrent d'indignation. Voilà qu'après avoir voulu qu'elle lui serve de remplaçante pour la conversation, elle lui fuyait du regard ! Apparemment, cette princesse s'intéressait beaucoup plus à la piste de danse plutôt qu'à elle ! Et elle ne tarda pas à lui faire remarquer.

- Qu'attendez-vous donc pour y aller ? dit-elle sèchement en observant son regard envieux. Qu'un partenaire vous demande une danse ? A par le plus hypocrite des courtisans, je ne vois pas qui pourrait bien vous proposer à danser ! Allez-y donc seule ! Vous aurez peut-être l'air ridicule. Mais que cela changera-t-il par rapport à d'habitude ?

Elle accompagna cette dernière réplique d'un regard plus noir que noir. Le regard le plus effrayant qu'elle n'eut jamais fait !

Soudain, un violent mal de tête vint lui assener le crâne.
Mais bon sang ! Que lui prenait-il ?! Elle n'avait jamais été aussi désagréable ! Ses remarques étaient toujours cassantes et ironiques à l'habitude, mais elle n'était pas à ce point méchante ! Que lui arrivait-il ?!
*Tu es en train de devenir plus horrible que ta tante !*
Elle se rappela alors pourquoi elle était de si mauvaise foi... Sa tante... Toujours et encore cette maudite tante... Elle était venue à la gallerie des glaces pour se changer les idées mais la pensée de cette mauvaise époque était restée. Elle avait donc été pire que d'habitude, essayant d'être toujours plus cassante, toujours plus ironique et ainsi pouvoir oublier ce misérable souvenir. La pauvre princesse avait été une ses malheureuse victimes de son acharnement de ce soir.

Héloïse flancha un moment mais se reprit très vite. Elle s'était faite une nouvelle ennemie. Tant pis. Une de plus ou une de moins, qu'est-ce que cela changeait après tout ? Autant continuer son acharnement à oublier...

Invité

[HRP] désormais, je dirais "il" au lieu de je. C'est plus facile.[/HRP]
Houla! Une fois encore une fois, l'ambiance était plombé. Comme toujours avec Héloïse, les mauvaises nouvelles se succédait. Et les mauvaises rencontre aussi. M'enfin, c'était la vie, et puis c'est tout. Et bein sûr, c'est pas le coup dans le nez de Léonard qui allait arrangé quelque chose. Il essaya, tant bien que mal de les séparées. Sans grandes chances de réussites, bien sûr. Ces deux-là n'était pas faites pour s'entendre. ça se voyait. Et bien. Leurs regard était noir comme le charbon.
- mesdames! Calm, calmez-vous! dit Léonard, en essayant de les calmer, Ce n'est pas en vous crêpant le chignon que vous arriverez au bout d'une relations!! a ces mots, il entraîna de force Héloïse pour danser.

Héloïse fut d'abord surprise.

- Mais que faites-vous, monsieur ?! s'écria-t-elle quand elle se rendit compte de ce qui se passait.

Elle n'eut pas le temps de se protester d'avantage. Elle se trouvait déjà sur la piste de danse. Elle jeta un regard noir au marquis. Il venait de gracier la princesse d'être obligée de répondre à son insulte ! Cela devait sûrement bien l'arranger à cette prétentieuse ! Et cela mettait Héloïse en rage ! Comment une fille de si haut rang avait-elle pu passer à travers son sarcasme ?! Et tout cela à cause d'un stupide marquis qui avait voulu les séparer ! S'il n'avait pas été là, la princesse s'en aurait mordu les doigts ! Et elle aurait été punie de son hypocrisie !

- Etes-vous fière de vous ?! grogna-t-elle en le foudroyant du regard. Vous venez de m'empêcher de faire mon devoir !

Elle détourna dédaigneusement la tête, boudeuse, et marcha malencontreusement sur le pied de son partenaire de danse. Elle lui en voulait, pour sûr ! De plus, la danse n'était pas la chose qu'elle aimait le plus au monde ! Elle était danseuse désolante... Et l’entraîner de force ainsi la mettait en rogne ! Pour elle, la danse n'était faite que pour valoriser les aspects ridicules des courtisans !

- Mais qu'est-ce qui vous a pris ?! gronda-t-elle.

Céleste se regarda une nouvelle fois dans la glace et adressa une grimace à celui-ci. Décidément cette robe était beaucoup trop décolletée ! Sa mère avait insisté pour qu'elle assiste au bal qui se dérouler le soir même à la Galerie des Glaces lui rappelant que c’était une excellente occasion de faire la connaissance de personnes importantes, surtout des comme la princesse Violetta del Venezia qui y serait présente, ou encore d'y trouver des excellents partis pour le mariage. Le "mariage" en ce moment elle n'avait donc que ce mot-là à la bouche ! de plus elle détestait se rendre aux bals, elle essaye toujours d'y passer inaperçu, non pas parce qu'elle ne sait pas danser mais parce que sa mère la pousse à rencontrer des gens de la haute société qui l'analyse tous de leurs yeux perçants comme si elle était un morceau de viande auquel il fallait estimer un prix. Elle entendit les grincements que les pas de sa mère, en s'approchant d'elle, émettaient sur le parquer lustré et fit mine de ne pas la voir espérant que celle-ci ferait de même mais ce ne fut pas le cas. Au contraire, sa mère la prit par le bras et l'emmena vers un groupe de trois personnes au fond de la salle. Un homme emmenait une jeune femme qui se débâtait sur la piste de danse laissant l'autre seule. Celle-ci était richement vêtue. Vu l'empressement que ma mère a à me la présenter elle doit être vraiment très importante et donc pas très commode non plus, pensât-elle de son for intérieur. D'ailleurs elle avait l'air furieuse, ce qui ne réjouit guère Céleste.

- Voici la princesse Violetta del Venezia qui arrive tout juste d'Italie, commenta sa mère, je te laisse en sa compagnie je pense avoir vu une de mes connaissances.

Elle fit un geste en direction d'une dame qui portais une robe d'un diamètre impressionnant et ajouta :

-N'oublie pas d’être polie et de ne point l'ennuyer avec tes histoires a dormir debout !

Puis elle partit la laissant seule avec la dame aux regards de braises. Gêner Céleste n'osez commencer la conversations, au loin elle apercevait sa mère qui la foudroyait du regard et faisant des signes de mains qui avaient pour but de l'encourager a l'aborder. Apres un temps qui aurait put paraître des heures la dame compris ça gêne et commençât a lui parler.

Invité

J'étais sur la chaise au fond de la salle regardant Léonard entraîner Héloïse sur la piste de danse malgré elle.Vu que je me retrouvait seule,je voulus sortir,prendre l'air quand je vis une jeune fille poussée dans ma direction par une dame très poudrée.La jeune fille n'avait pas l'air heureuse mais sûrement plus sympathique que cette Héloïse De Lavallière.Je décidais de ne pas faire attention pendant qu'elle discutait avec la dame que je supposait être sa mère,et je portais plus attention à la galerie.Elle était magnifique,richement décorée,de plus vu qu'il faisait nuit noire,elle était illuminée.C'était féerique.Puis lorsque la jeune fille était en face de moi,je vis qu'elle était mal à l'aise,et je me décidais à lui parler en première:
<<Bonsoir,comment vous appelez-vous?>>
Je lui fis un grand sourire.

[HRP]Hoouu... Alors là, tu vas me sentir passer Violetta... Je chauffe, je chauffe... J'EXPLOSE !!! UN RP COMME CA, C'EST IMPENSABLE !!!!! Après t'avoir sermonner sur Skype, je rend les choses plus officielles à partir d'aujourd'hui. Suite à des réponses de RP trop courtes, j'ai décidé de poser une limite ! A partir d'aujourd'hui, les RPs devront faire un minimum de 8 lignes ! Soit l'équivalent d'à peu près 250 mots. Et encore, je suis gentille. Même très gentille ! Alors veuillez respecter cette nouvelle règle ! Elle est valable pour tout le monde ![/HRP]

Invité

- Ais-je bien entendu? Faire votre Devoir? je rêve! C'est un rêve éveiller!

Ils dansaient, bien qu’Héloïse fut une très mauvaise danseuse. Elle n’arrêtait pas de lui marcher sur le pied. Pendant qu'ils dansaient, il voyait les courtisans rirent d'eux. Ce qui était plutôt normal. Ils découvraient un nouveau défaut de leur ennemie. ceci dit, Léonard attendit, regardant Au-dessus de l'épaule de sa partenaire de danse. Il fit des gestes plus ou moins discrets a Violetta, pour qu'elle s'en aille et qu'il puisse lâcher Héloïse. Malheureusement, la princesse ne semblait pas le remarquer. Et tout espoir se dissipa lorsqu'elle fut rejoins par une autre courtisane.

- Sachez, ma chère Héloïse, que j'ai bien remarquer que vos foudres son sans pitié. Néanmoins, cette princesse ne vous a rien fais, encore, et être noble ne justifie pas le fait que vous vous moquiez d'elle. venez avec moi, nous allons nous promenez.

Sur ces mots, et sans attendre la réponse de son interlocutrice, il la tira jusqu'aux jardins qui jouxtais la galerie des glaces.

Spoiler:

Encore une fois, le marquis réagit plus vite qu'elle. Il l'entraîna sans ménagement à l'extérieur du palais pour la mener jusqu'aux jardins. Héloïse se débattait, essayant de se libérer de la main du marquis qui la tirait.

- Laissez-moi partir ! hurla-t-elle.

Enfin, la pression se relâcha. Héloïse en profita pour tirer d’un coup sec sur son bras et s’échappa de l’emprise de Léonard.
Elle était rouge, ses cheveux en bataille. Sa respiration saccadée formait de petits nuages de vapeur dans la nuit. Une flamme ardente brûlait dans ses yeux. Contrairement au regard froid et glacial qu’elle avait lancé à Violetta, celui-ci se consumait telle une braise dans ses yeux verts. C’était une lueur furieuse et déchaînée. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter.
Cet idiot de Léonard n’avait fait qu’attiser cette flamme ardente et sa rage allait bientôt se déchaîner.

- VOUS NE ME COMPRENEZ DONC PAS ??!!

Son cri déchira l’air des jardins. Elle sentit sa vue se brouiller de larmes. Elle les essuya négligemment d’un revers de la main, son regard furieux dirigé vers le marquis.
Les souvenirs d’une enfance perdue refirent surface. Alors qu’elle était venue ici pour oublier, voilà qu’elle était beaucoup plus affectée.

- Les nobles ont gâché ma vie ! Je n’étais qu’une enfant et ils me traitaient comme un être méprisable ! Vous n’avez pas idée de ce qu’ils m’ont fait subir avant mon entrée à la Cour ! C’était les pires tortures pour une enfant de mon âge ! On ne m’a jamais laissé rêver ! Jamais ! J’étais constamment surveillée et dès que je faisais une erreur, la sentence se révélait être des plus ignobles ! Quand mon père m’amena à Paris et me laissa au milieu de toute cette misérable Cour, je fus seule ! Vous comprenez, Léonard ?! Seule ! Je n’avais personne à qui m’adresser ! A chaque fois que je tentais de parler avec un courtisan, on faisait tout son possible pour s’esquiver ou me faire partir ! Mais j’ai su comment procéder et je suis devenue la personne que je suis aujourd’hui. J’ai décidé de me venger ! Tous ces nobles ne méritent pas les richesses qu’ils possèdent ! Cette princesse d’Italie n’a eu que ce qu’elle mérite et je ne regrette pas mon geste ! Je pensais que vous me comprendriez… Mais je me trompais. En réalité, vous êtes comme tous ces gens lamentables !

Après cette longue tirade, la jeune fille s’effondra. Ne pouvant plus retenir ses larmes, elle les laissa s’effondrer sur son visage. Une étrange douleur s’empara d’elle et elle hurla dans la nuit. Elle cacha son visage entre ses mains et laissa son désespoir contenu en elle depuis si longtemps s’échapper dans les jardins…

Invité

Héloïse pleurs. Elle pleurs.
Léonard venait de comprendre. C'était donc ça, les nobles l'avait tué de l'intérieur, Mentalement. Léonard la laissa hurler. Une fois qu'elle eu finis de crier, Léonard hésita. Devait-il la réconforter? Ou bien devait-il lui donner une autre raison de pleurer? Non. Héloïse était sûrement trop en colère. Si ce qu'elle disait était vrai, ils avaient un point commun. La souffrance cachée. Les larmes qui se versait le soir, quand ils repensait au malheur qui furent les leurs. Avant qu'elle ne put faire quoi que ce soit, Léonard la prit dans les bras. L'air si frais en ce mois de septembre, se réchauffait lorsqu'il se réfugia contre elle. Son parfum, la douceur de sa peau, tous cela l’enivrais. L'amour le rendais fou. Fou à lier.

-Héloïse... Vous avez connu des moments certes très difficiles. Mais imaginez ce que je ressens, moi? J'ai perdu ma famille, ma sœur, a laquelle je tenais plus que tous au monde, ma patrie, la Castille. Imaginer, si je refoulais ma colère contre les bourgeois, les nobles! Je les tuerais, j'en suis capable. Calmez-vous, Héloïse, je vous comprend. Mieux que quiconque. il souffla dans un murmure Mieux que quiconque.

Il éclata ensuite en sanglot. Il y avait repenser. A sa mère, a son père.

A sa soeur.

Héloïse pleurait maintenant à chaude larmes. Elle n’avait jamais pleuré ainsi depuis des années et elle ne pensait pas que ses sanglots auraient été aussi violents. Elle ne s’était jamais sentie aussi faible et fragile… A part peut-être lors de l’une des punitions de sa tante. C’était un sentiment désagréable dont elle ne voulait absolument pas se souvenir.

Quand Léonard l’avait prise dans ses bras, elle l’avait laissé faire. Elle était trop épuisée par ses pleurs pour se débattre à nouveau. De plus, elle sentait qu’elle avait besoin de quelqu’un à qui s’agripper. Quelqu’un qui pouvait la rassurer. Quelqu’un qui pouvait lui prouver qu’elle n’était plus seule.
Les mots qu’il lui prononça à l’oreille augmentèrent ses sanglots.
Elle avait été égoïste… Elle n’avait pensé qu’à ses propres malheurs alors que d’autres souffraient autant qu’elle. Le marquis avait sûrement dû endurer beaucoup blessures lui aussi… Elle était idiote de penser que personne d’autre qu’elle se sentait malheureux dans cette Cour. Et maintenant, elle s’en voulait de l’avoir insulté ainsi.
Elle s’agrippa à son veston en le serrant le plus fort possible contre elle et enfuit sa tête entre ses bras. Cette étreinte la rassurait, elle avait l’impression que sa solitude s’en allait. Elle voulait rester encore plus longtemps dans ses bras, juste pour ne plus être seule, savoir qu’elle pouvait compter sur quelqu’un et se sentir protéger.
Elle lui avait pourtant dit une telle atrocité… Et pourtant, il lui venait tout de même en aide. Ce n’était pas sa faute si elle s’était déchaînée contre lui. Elle était en colère et ne pouvait contrôler sa fureur. Elle devait défouler ses sentiments sur quelque chose, ou quelqu’un. Il s’était trouvé là au mauvais moment, c’était tout.

- Je suis désolée, Léonard… Tellement désolée… murmura-t-elle entre deux sanglots.

Elle hurla à nouveau mais cette fois, son cri fut étouffé par le veston du marquis contre lequel elle avait laissé tomber sa tête.
Un poids dans son cœur venait de tomber. Elle sentait libérée par ses pleurs et ses cris qu’elle avait enfin partagé…